Autodidacte complet, Philippe signe des restaurations très soignées qui partent souvent du châssis nu. Il aura possédé quatre camions anciens et il lui en reste trois, tous atypiques. Gai compagnon, Philippe n’hésite jamais à se lancer dans de nouvelles aventures.

Comment es-tu venu à la collection ?
J’habitais dans le 10e arrondissement de Paris. Je voyais passer les voitures. Il y avait un petit garage près de chez moi qui me fascinait. C’était surtout les gros camions qui me plaisaient. À l’époque, Il y avait encore des camions de livraison à essence. Les diesels avaient une odeur et un bruit particuliers. À la communale, j’étais un très bon élève. Puis mon niveau a adopté une pente descendante. Je suis...

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