Troisième partie : le sort d'un petit constructeur. Après s’être distingué techniquement et avoir acquis une réputation enviable en matière de fiabilité, Latil aurait mérité de figurer parmi les leaders du véhicule industriel français. Mais petit tu es, petit tu resteras.

Nous l’avons vu dans le précédent épisode, Latil n’a pas ménagé ses efforts pour proposer une gamme complète. La course à la puissance l’a amené à suivre les traces de Ford et à sortir un V8 de 7,25 litres et 110 chevaux, qui anime en 1934 deux modèles de camions et seulement 26 autocars du type V3AB3. Collant mieux au marché, apparaît en 1934 la gamme M qui couvre des charges totales de 2 000 à 4 500 kg avec trois moteurs, les M1 et M2 à essence et le M3G à...

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