Deuxième partie : De 1971 à 1979. Ayant repris l’importation en propre de ses véhicules en France, Leyland peut espérer rencontrer un succès grandissant sur le marché français, d’autant que la gamme de modèles qu’il propose va aller s’élargissant au fil des années soixante-dix .

Totalement absent de France jusqu’au début des années soixante, l’Anglais Leyland nourrit l’ambition de pénétrer le marché hexagonal. Mais il se heurte à un problème majeur : la Grande-Bretagne ne fait pas partie du Marché commun qui vient d’être créé, ce qui risque de le pénaliser sur le plan des tarifs du fait des droits de douane imposés aux importations. Pour pouvoir vendre en France, il faut à Leyland un partenaire. C’est Hotchkiss qui est choisi, le...

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