Depuis 1957, le marché français s’est peu à peu ouvert aux constructeurs européens. Le contraste entre ce qui est produit dans l’Hexagone et ce que proposent les importateurs se creuse, tandis que l’écart de prix se réduit. Chez les Français, ce n’est pas l’euphorie…

Voici deux ans, dans Charge Utile n° 290, nous avions dressé un panorama de l’année 1957. Depuis, nombre de constructeurs et non des moindres sont passés dans la rubrique nécrologie. Adieu Chausson, constructeur de rang mondial et numéro un français ; adieu Isobloc et sa technique avant-gardiste ; adieu Floirat et ses audaces ; adieu Saurer et sa qualité ; adieu les Panhard et Somua qui ont rejoint les non moins glorieux Delahaye, Rochet-Schneider et autres. Quant aux carrossiers,...

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