Créée en 1972, l’Union routière Provence-Roussillon (URPR) était spécialisée dans le groupage et le transport de primeurs depuis ses entrepôts du marché Saint-Charles à Perpignan (Pyrénées-Orientales). L’entreprise cessera ses activités courant 2018. Voici six photos de véhicules exploités au début des années deux-mille, toutes prises à Perpignan.
Photo 1. Utilisé en local, ce Renault G 260.19 T à cabine courte attelé à une semi-remorque fourgon Trailor Optimum Van à trois essieux a été acquis d’occasion. Photographié le mercredi 3 juillet 2002, il est animé par un six cylindres MIDS 06.20.45 de 9,8 litres développant 260 chevaux DIN.
Photo 2. Nous sommes le jeudi 11 juillet 2002. Mis en service en 1996, ce Renault AE 420 TI 19 T Magnum est attelé à une semi plateau à rideaux coulissants équipée d’un groupe frigorifique, typique de l’activité primeurs. L’AE 420 TI dispose de 415 chevaux CEE fournis par son six cylindres intercooler MIDR 06.35.40 J/3 de 12 litres.
Photo 3. Rentré au printemps 1998, ce Renault Premium Route 340.26 6 x 2 S a reçu une caisse frigorifique signée Lamberet. Lancé deux années plus tôt, le Premium 340 est équipé d’un six cylindres MIDR 06.20.45 E 41 de 9,8 litres et 338 chevaux CEE. Le cliché est pris le mercredi 3 juillet 2002.
Photo 4. Attelé à une semi-remorque frigorifique Schmitz à trois essieux, ce Renault Magnum 430.19 T de 1999 est gravé sur la pellicule le lundi 7 juillet 2003. Il dispose de 430 chevaux CEE délivrés par son six cylindres MIDR 06.24.65 de 12 litres d’origine Mack.
Photo 5. Ce Renault Magnum 440.19 T d’octobre 2000 attelé à une semi frigorifique Lamberet à trois essieux est immortalisé le mardi 9 juillet 2002.
Photo 6. Équipé d’une caisse frigorifique Chéreau, ce Renault Premium Dis tribution 270 dCI 19 acqui d’occasion est fixé sur la pellicule le lundi 5 juillet 2010. Il est propulsé par un six cylindres dCI 6 de 6,17 litres et 265 chevaux CEE.
Cette rubrique est la vôtre. Elle a vocation à être illustrée par vos photos d’archives concernant les véhicules de transporteurs disparus ou existant encore aujourd’hui, accompagnées de vos anecdotes : quelle était l’entreprise ou le propriétaire (dont les noms de figuraient pas forcément sur les portières), où était-elle basée, qu’est-ce qu’elle possédait comme véhicules (même si l’on ne dispose pas de photos de ces derniers), quels étaient ses trafics, ses liaisons habituelles, ses clients, et même ses chauffeurs.
Si vous avez travaillé pour une maison de transport et que vous recherchez d’anciens collègues, dites-le nous, mais il vous faudra pour cela joindre une photo de votre véhicule de l’époque, ou d’un autre… Vos souvenirs et vos compléments d’information concernant une entreprise qui aura été évoquée sont les bienvenus.
Alors, à vos plumes ou à vos ordinateurs. Ensemble, nous ferons revivre de belles pages du transport en France…
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