« La campagne provençale est balayée par de violentes giboulées. Les cyprès plient sous les assauts redoublés d’un vent glacial. À quelques kilomètres de de la ville, au bout d’une rue déserte, quelques bâtisses lézardées tentent encore de s’accrocher à leur glorieux passé avant qu’une déviation ne les plonge dans l’oubli ; un hôtel-restaurant et une tuilerie envahie par les herbes folles dressent leurs silhouettes décharnées. Un bâtiment grisâtre au portail...

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