1 | Une partie des camions des transports
Grosdidier est alignée sur le parc
d’Arinthod durant un week-end en 1976.
Du premier à l’arrière-plan, ce sont un
Berliet TAK 205 B, un TR 260, deux autres
TAK 205 B, deux GR 200, un 950KBT 6 B,
un TR 280, trois Saviem SG 4 MB 59 et
deux SG 2 MB 35.
Si, dans les années soixante-dix, les transports Grosdidier ne comptent qu’une vingtaine d’ensembles, la cavalerie grimpera jusqu’à 70 moteurs au moment de leur cession au groupe Malherbe en 2011.
2 | Les frères Grosdidier souhaitant
disposer d’une deuxième marque, les
Mercedes seront relativement nombreux
au sein de la flotte du transporteur
d’Arinthod, et ce dès les années
soixante-dix avec un 1017, un 1419 S
et des tracteurs maxi-Code 1926 S et
1932 S. Les achats de camions à l’étoile
se poursuivent dans les années quatrevingt
avec des 1935 S à cabine Espace
comme celui-ci, acquis en février 1982.
On le voit ici dans la cour enneigée en
décembre 1990.
3 | Avec sa semi plateau à rideaux coulissants,
ce Renault R 340.19 T roule sous
les couleurs des jouets Smoby, un bon
client de l’entreprise.
4 | Au cours des années vingt, un certain
nombre de Renault G viennent renouveler
et élargir le parc. Leurs puissances
modestes conviennent à la plupart des
trafics de la maison d’Arinthod. Cette
semi-remorque savoyarde à col de cygne
portant le nom de Monneret, un fabricant
de jouets, est ainsi emmenée par un
G 260.19 T à moteur turbo intercooler
de 260 chevaux.
5 | Un peu plus récent, celui-ci est attelé
à une semi fourgon à deux essieux.
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Publié le
6 septembre 2021