Deuxième partie : l'après-guerre. Libéré après avoir été copieusement bombardée, Mulhouse doit tourner la page du tramway et se convertir au « tout pneumatique », autobus et trolleybus.

Bafouant le traité d’Armistice du 17 juin 1940 qui préservait le tracé des frontières de la France, les Allemands annexent en juillet les trois départements Moselle, Bas-Rhin et Haut-Rhin, avec le souci d’éradiquer toute trace française. Il y est interdit de parler français, les lectures sont uniquement allemandes, la monnaie est le Reichmark et les jeunes hommes sont enrôlés « malgré eux » dans la Wehrmacht. Puisqu’ils sont désormais en Allemagne, les véhicules en...

La suite est réservée aux abonnés.
Déjà abonné ? Se connecter