Deuxième partie : des années fertiles. Tandis que tous les constructeurs, notamment de cars et bus, ne rêvent que de rationalisation et de standardisation, en Espagne, Pegaso est déterminé à occuper tous les créneaux.

À tort ou à raison, le gouvernement au pouvoir depuis 1937 a d’abord joué la carte de l’isolement avant d’ouvrir les portes du pays en 1953, tout en persévérant dans le protectionnisme économique. En matière d’industrie automobile, le pays va inviter des constructeurs étrangers, à commencer par Fiat en 1950, à produire certains modèles dans le pays, tandis que trois constructeurs nationaux, Pegaso, Ebro et Barreiros, ce dernier né en 1954, se partagent seuls le marché...

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