Troisième partie : sur la bonne voie. Constructeur de camions dominant, Marius Berliet occupe en revanche une position marginale sur le marché des cars et bus, alors en pleine croissance. À la fin des années vingt, quelques nouveaux modèles performants partent à la reconquête de ce dernier.

Le constructeur lyonnais avait fait une entrée très remarquée sur le marché des cars alpins, en se couvrant de gloire sur la fameuse Route des Alpes. La guerre terminée, l’offre de Berliet oscille entre des aménagements de camionnettes et des variantes de camions, une réponse a minima aux besoins. Résultat, les clients gagnés à l’occasion de la Route des Alpes, Traffort et Imbert pour ne citer qu’eux, trouvent dans les années vingt des châssis plus performants...

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Benoît Gruhier, Collection Fondation Berliet, Amtuir,