Nous voilà mi-mai et pas encore sortis de cette satanée pandémie. Certes, des signes encourageants commencent à poindre çà et là, tels la progression des vaccinations, le recul du nombre de patients en réanimation et celui des nouvelles contaminations quotidiennes… Et devant toutes ces contraintes, vous ne restez pas inactifs.

Témoin l’initiative heureuse de l’Acaare en Alsace (voir article dans ce numéro) qui organise des micro-sorties en camions pour que l’activité reprenne sans prendre de risques. Car le virus est toujours là et il continue de tuer, il ne faut jamais l’oublier. Plusieurs de nos amis sont partis à cause de lui. Espérons qu’il n’y en aura plus et continuons de nous protéger car, si la France a de bonnes chances de triompher du virus, la contamination par un variant étranger serait une catastrophe, tant sanitaire qu’économique.

La belle saison arrive. Elle va probablement nous permettre de reprendre une vie à peu près normale, mais rien ne sera « comme avant », ou du moins pas avant longtemps. Gardez le moral et n’oubliez pas de nous communiquer vos petits trésors photographiques en vue du numéro « spécial lecteurs » d’été.

Bonne lecture.
Jean-François COLOMBET

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