Des chevaux, des mulets, des chiens et… un bélier. Les charges sabre au clair ne sont plus depuis longtemps que le souvenir de temps lointains. Pendant la Première Guerre mondiale, les unités montées de cavalerie ne jouent qu’un rôle secondaire (escorte de prisonniers, prévôté). En revanche, les chevaux se révèlent incontournables pour la logistique et la traction des pièces d’artillerie.

Au cours de la Seconde Guerre mondiale, le nombre des unités montées est considérablement réduit. En plus des goums montés des tabors marocains, ne restent que deux régiments, le 5e spahis marocains et le 7e spahis algériens. Dans l’immédiat après guerre, en 1948, on relève l’existence en Afrique du Nord de quatre escadrons dont les missions se limitent à des services d’honneur et, en métropole, du 7e groupe de spahis algériens basé à Senlis (Oise). Lors des...

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